Voici les 4 pilliers de l’entrainement Hyrox

Ça y est. Retour à Paris. Enfin de la bonne bouffe haha !


Après les World Championships de Hyrox à Chicago, il fallait digérer. Physiquement. Mentalement. Emotionnellement.

Cette semaine, l’objectif n’était pas de performer, ni de suivre un plan. L’objectif, c’était de se marrer avec les fous parisiens : Madani, Farid, Sarah etc.
Faire du sport pour le plaisir, bouger sans pression, improviser.
Pas de programme de training, pas de logique scientifique — juste une règle : faire ce qui me donne envie.

Parce que c’est souvent là, dans ce moment d’après-compétition, que le vide se fait sentir. Le shoot d’adrénaline redescend, la dopamine chute… et si on ne fait pas gaffe, on tombe dans le trou noir post-event.

Alors cette semaine, j’ai pris soin de juste faire ce que j’avais envie niveau training (Muscuuuuuu à l’Usine haha)


Et puis, bien sûr, de prendre soin du corps : petits bobos, alertes silencieuses, signaux faibles…
Lundi, direction l’ostéo pour un check-up complet. Histoire de repartir sur des bases saines.

Et puis surtout, commencer à observer, à sentir, à analyser les 4 grands piliers de performance sur lesquels je vais m’appuyer pour progresser cette année :

  1. Mindset
  2. Body Economy
  3. Engine Builder
  4. Nutrition

🧠 MINDSET – « Je ne suis pas celui qui craque au wallball »

L’un des plus gros chantiers de cette semaine, c’était de faire le point sur l’aspect mental.
Et notamment : ce craquage au wall ball à Chicago.
Pas pour se flageller — au contraire — mais pour recontextualiser.

Le plus important dans ce genre de situation, c’est d’empêcher le cerveau de me coller une étiquette.
Pas question que la petite voix commence à murmurer :

« Thomas, c’est le mec qui craque au wall ball. »

Non.
Je refuse cette narration.
Ce n’est pas qui je suis.

Je suis celui qui va réussir au wall ball, point.
Je ne l’ai juste pas encore fait.
Et je dois continuer à chercher la bonne formule pour le faire.

C’est quelque chose que j’ai beaucoup appris dans l’entrepreneuriat. Quand tu montes des projets, si tu te définis par ton dernier échec, t’es foutu.
Ce n’est pas l’échec qui est un problème, c’est l’interprétation qu’on en fait.

Et ça, je pense que c’est un piège classique.
C’est comme les gens qui disent :

« Moi, je suis nul en maths. »

Pourquoi ? Parce qu’ils ont eu 8/20 à un contrôle en 6e ?
Non.
Ils étaient surement des élèves allait devenir bon en maths, mais ils n’avaient pas encore trouvé la bonne méthode pour apprendre.

C’est exactement pareil pour moi.
Je ne suis pas le gars qui explose au wall ball.
Je suis juste celui qui n’a pas encore maîtrisé l’équation.

Et ça change tout. À moi de faire le taf now !

La zone 5, c’est là que tout se joue

Ce que je retiens aussi cette semaine, c’est que si je veux performer en Hyrox, il n’y a pas de débat :
il faut que je sois capable d’évoluer en zone 5. Longtemps. Régulièrement. Mentalement.

Parce que oui, la zone 5, c’est horrible.
C’est inconfortable. C’est oppressant. Tu n’as plus de jus, plus d’air, tu doutes de tout.
Mais il faut arrêter de croire qu’on peut faire un Hyrox sans souffrir — ou alors, pas à des temps de classe mondiale.
Le mindset, c’est de le savoir, et de s’y préparer.

Et là-dessus, je vois très clair :

Si je veux mieux gérer les wall balls, je dois arrêter de les aborder avec l’idée que « ça va passer ».
Je dois m’entraîner à souffrir, mais pas juste physiquement :
je dois entraîner mon cerveau à rester lucide dans la souffrance.

Parce qu’un cerveau qui n’a jamais été confronté à ce niveau de douleur, il panique. Il coupe, et te sort des tour de magie pour te pousser à arrêter.

Et c’est exactement ce qui m’est arrivé à Chicago.
La fatigue était telle, la zone si inconnue, que mon mindset n’était pas prêt.
Les wall balls m’ont mis une claque. Deux fois.

Mais c’est là qu’est la leçon :
je ne dois plus attendre le jour J pour affronter cette intensité.
Je dois la construire à l’entraînement. La provoquer. M’y habituer.

C’est inconfortable, oui.
Mais c’est aussi pour ça que l’Hyrox est un sport d’élite.
Pas parce qu’il faut courir vite ou pousser fort — mais parce qu’il faut un mindset d’acier.

Et ça, je suis prêt à le forger.

Donc voilà : mon plan de route, côté mindset, il est simple.

Il ne s’agit pas de refaire 1000 wall balls. Je sais en faire.
La technique est là, la coordination aussi. C’est pas le sujet.

Le vrai sujet, c’est :
est-ce que je peux faire des wall balls dans l’état d’un mec qui vient de se manger 8 km de run, des sleds de 200 kg et 175 BPM de moyenne ?

Et ça, c’est une autre planète.

Mon vrai défi, c’est d’apprendre à embrasser cette souffrance.
De faire des wall balls quand t’as plus rien, quand t’as juste envie de t’allonger, pas de lancer une putain de balle à 3 mètres.

Donc ma stratégie pour la suite est claire :
Quand la saison reprendra, je vais structurer des blocs spécifiques entièrement dédiés au mindset, à la résistance nerveuse.

Pas pour faire du volume, mais pour me reprogrammer mentalement :

  • Finir mes séances par 100 wall balls
  • Les attaquer en situation de fatigue extrême
  • M’entraîner à ne pas lâcher à la 20e rep
  • Rester verrouillé même quand le corps dit stop

Et surtout :

Ne plus jamais laisser cette petite voix me dire que “Thomas, c’est le mec qui craque au wall ball”.

Non.

Thomas, c’est le mec qui va exceller au wall ball.
Celui qui est en train de construire la bonne formule, pas à pas.

Et ce mindset-là, je ne le lâcherai plus.


🧘 BODY ECONOMY – Courir relâché, c’est gagner 2%

Cette semaine, j’ai surtout pris le temps d’analyser ma course et de réfléchir à ce que j’avais ressenti dans le corps pendant les World Championships.

Et le constat est limpide :

Je suis capable de pousser très fort sur le run.
Je sais tenir un effort anaérobique sur une période de temps assez longue, pas de problème de seuil, ni de moteur.

Mais… mon économie d’énergie est catastrophique.

Je ne fais aucune gestion de relâchement, ni dans mes runs, ni dans mes stations.
Je bourre, je bourre, je bourre – sans jamais me demander à quel prix.

Et ça, ça me coûte :

  • J’arrive cramé aux transitions
  • Mon rythme cardiaque reste haut
  • Je prends probablement 2 à 3 BPM sur chaque run à cause de ces tensions inutiles

Et 2–3 BPM… ça change tout sur 60 minutes.


Mon nouveau chantier : courir plus intelligent

L’objectif, maintenant, ce n’est pas de courir plus vite, c’est de courir plus relâché.
De dépenser moins d’énergie pour une même allure.

D’apprendre à :

  • Détendre mes bras, mes épaules
  • Réduire les crispations inutiles
  • Garder une respiration plus posée
  • Garder du relâchement même à haute intensité

J’ai fait une sortie longue cette semaine, en zone 2+, et je me suis forcé à écouter :

“Comment je me sens là ? Est-ce que je me crispe quand j’accélère ? Est-ce que je tends les épaules ? Est-ce que je perds ma cadence ? Est-ce que je respire de manière fluide ?”

Pas de réponses encore.
Mais je ressens de mieux en mieux.


Les modèles de l’Elite 15

Quand tu regardes Tim Wenisch (le champion du monde 2025),
tu as l’impression qu’il ne force jamais.
Pareil pour Dylan Scott à New York : tout paraît fluide, propre, sans une goutte d’énergie gaspillée.

Et c’est exactement ça que je vise.

Je ne veux pas juste être fort, je veux être efficace.

Le vrai niveau, il est là.
C’est pas juste de tenir 60 minutes à bloc.

C’est de le faire sans bruit, sans crispation, sans perte.

Et ça va être l’un de mes gros axes de travail pour l’intersaison.

Phase 1 : ressentir avant de corriger

Pour l’instant, je suis encore en phase d’observation.
Je n’ai pas de correction technique à appliquer, ni de drill précis à vous recommander.
Mais j’ai commencé à prendre conscience de mes déperditions d’énergie inutiles.

Lors de ma sortie longue cette semaine, j’ai fait quelques tempo runs à 3’40/km.
Et à chaque fois que j’accélérais, j’ai senti clairement ma foulée s’allonger,
mes bras devenir lourds, ma concentration sur le relâchement s’effondrer.

Je ne suis pas gêné à court terme — je continue à courir correctement —
mais je sais que chaque contraction inutile, chaque crispation parasite,
c’est 1 ou 2 % d’énergie perdue.

Et sur une course comme l’Hyrox, ces 2 % là peuvent tout changer.


Mon seul objectif : écouter mon corps pendant l’effort

Aujourd’hui, j’essaie juste d’écouter :

  • Quels muscles se tendent pour rien ?
  • Où est-ce que je compense ?
  • Quand est-ce que je perds ma foulée naturelle ?

Je vais m’habituer à scanner mon corps en temps réel.

Le travail de correction viendra plus tard :
➡️ peut-être par du travail technique de foulée
➡️ peut-être par de la respiration avancée
➡️ peut-être par des exercices spécifiques de relâchement en course


Je vous partagerai tout

Dès que je trouve une méthode, un contenu, une vidéo, un outil qui m’aide à progresser là-dessus,
je vous le partagerai ici.

Mais pour l’instant, je reste dans le silence de l’analyse.
Je cours, j’écoute, j’apprends.


🔧 ENGINE BUILDER – Maintenir le moteur, sans cramer le cerveau

Clairement, c’est la partie que je préfère.
J’adore faire des formats type Hyrox, des EMOM bien calibrés, des blocs de 40 minutes où je peux me mettre dans le dur.

Mais là, le mot d’ordre, c’est la récupération, surtout nerveuse.


Objectif de la semaine : pas de zone 5

Je me suis autorisé deux entraînements “Hyrox” cette semaine — des formats de 40 minutes —
mais avec un seul mot d’ordre : ne jamais passer en zone 5.

Je suis resté en zone 3 à 4, sans pression de performance.

Le but, c’était :

  • d’aller au bout, quoi qu’il arrive
  • de rester dans une intensité contrôlée
  • de travailler la lucidité en course : où est-ce que j’overpace ? Quand est-ce que je perds le relâchement ?

L’enjeu : l’économie énergétique

Le fond est là.
Il a été construit pendant toute la prépa des Worlds.

Maintenant, je veux peaufiner.
Comprendre où je perds de l’énergieoù je me tends inutilementoù je pourrais gagner 1 ou 2 % de relâchement.

Et comme je l’ai déjà dit :
à l’échelle d’un Hyrox, ces 2 % peuvent faire la différence.


Écouter sans gros effort nerveux

Cette semaine, je suis dans une phase d’écoute,
de lecture des signaux,
de connexion à moi-même à l’effort.

Je veux que ça reste un plaisir,
que l’envie de m’entraîner reste intacte,
et ne pas me griller à force de bourriner.


🥗 NUTRITION – Ma plus grosse piste de progression

Quand je prends un peu de recul sur le sujet, je réalise à quel point la nutrition en Hyrox est une zone grise.

Pourquoi ? Parce que ce sport ne ressemble à aucun autre.
Et donc, aucun protocole classique de nutrition pré-course ne colle parfaitement.


Aucune comparaison vraiment pertinente

  • Un 10 km ?
    Tu es all-in pendant 30 minutes, mais c’est deux fois plus court qu’un Hyrox.
    Et surtout, ce n’est pas du tout la même intensité de changements musculaires.
  • Un semi-marathon ?
    Tu es en endurance pure. Tu ne vas jamais en zone 5.
    Ce n’est pas la même filière énergétique, pas la même exigence.
  • Le CrossFit ?
    Les wods sont très courts, très intenses… mais aucun ne dure 1h+ à ce niveau d’effort continu.
  • Les Dekas ?
    Ils s’en rapprochent… mais durent 25 à 40 minutes, donc zappent tout ce qui se passe dans le dernier tiers d’un Hyrox, là où tout se joue.

Un terrain vierge à explorer

Résultat :
il n’y a pas vraiment de référence claire pour structurer une stratégie nutritionnelle optimale en Hyrox.

Et ça me passionne.
Parce que j’ai le sentiment que plein de choses sont à découvrir, à affiner, à tester.

Je sens que, par rapport à mon ressenti, il y a des détails alimentaires sous-estimés qui pourraient changer la donne en course.

Ce que je commence à comprendre côté biochimie

Petit à petit, je commence à mieux comprendre ce qui se passe dans le corps selon le type de nutriment qu’on ingère, et ce que ça implique en course.

Les protéines

C’est simple : avant une course, aucun intérêt.
Les protéines, ce sont des chaînes d’acides aminés complexes à digérer, donc très lourdes énergétiquement.
Elles mobilisent du sang, elles fatiguent le système digestif, elles t’handicapent avant même de courir.

Les lipides

Même chose : trop longs à métaboliser.
Ils peuvent être utiles en amont, mais jamais juste avant une course.
Tu n’as pas envie que ton estomac rame pour décomposer du gras alors que tes jambes hurlent pour du sang oxygéné.

Les glucides

C’est là que c’est plus subtil.
Oui, les glucides donnent un boost rapide, mais ils génèrent un pic d’insuline.
Et avec lui, viennent les premiers déchets métaboliques.
C’est ce qui déclenche la production d’acide lactique.
Et là, tu commences à accumuler ce que tu vas devoir encaisser toute la course.


Keto, lactate & puissance : tout un dilemme

Quand je regarde ce qu’il se passe du côté des régimes céto (keto), je trouve ça fascinant :

  • Pas de glucides → pas de pic d’insuline → pas de sugar crash
  • Zéro déchets métaboliques → beaucoup moins d’acide lactique
  • Un corps hyper endurant, capable de tourner longtemps sans jamais tomber dans le rouge

Mais voilà le problème : aucune explosivité.
Et en Hyrox, si t’as pas un minimum de patate pour les sleds ou les lunges, tu te fais broyer.


Trouver le bon équilibre biochimique

Ce que je commence à entrevoir, c’est que toute la difficulté, c’est là :
👉 Comment optimiser ton métabolisme pour limiter la lactate, tout en gardant assez de peps pour encaisser les pics d’effort ?

C’est un vrai numéro d’équilibriste.
Et aujourd’hui, je ne connais personne qui a trouvé la formule parfaite.

Mais je vais creuser.
Je vais tester.
Et je vais documenter tout ça dans les semaines qui viennent.

Parce que je suis convaincu que c’est là que se joue le futur de la performance en Hyrox.

Je n’ai pas encore la réponse… mais je sais ce que je cherche

Aujourd’hui, je n’ai pas encore trouvé la formule parfaite.
Mais je sais très bien ce que je cherche.

Je veux construire, tester et valider une alimentation au moins 7 jours avant la course qui permette d’arriver le jour J avec trois conditions optimales :

  1. Assez d’énergie pour être explosif
    → Pour encaisser les sleds, les lunges, et tous les pics de force requis en Hyrox.
  2. Un métabolisme propre, peu générateur de déchets
    → Le moins possible d’acide lactique, pas de sugar crash, un corps qui tourne rond.
  3. Un système digestif silencieux
    → Aucun conflit interne, aucun influx sanguin détourné pour la digestion.
    100% du sang pour les muscles. Point barre.

C’est ce combo-là que je vais essayer de construire cette saison.
Par l’expérience, par les tests, par l’erreur.
En écoutant les signaux du corps, en explorant les approches, et en documentant chaque étape.

Parce que si je veux performer durablement en Hyrox, il va falloir que je devienne non seulement un bon athlète, mais aussi un vrai stratège métabolique.

Mon intuition personnelle (et mes meilleurs feelings en course)

Même si je n’ai pas encore la formule parfaite… j’ai une intuition forte.

À chaque fois que je me suis alimenté le jour de la course, j’ai ressenti des gênes :

  • Blocages gastriques,
  • Respiration limitée,
  • Une sensation claire que mon corps n’était pas à son plein potentiel.

Et à l’inverse, toutes mes meilleures sensations sont venues quand je suis parti à jeun :

✅ Les Hyrox Open très tôt le matin à Toulouse et Karlsruhe → surperfs.
✅ Le Hyrox Pro en double à Paris avec Kévin j’étais à jeun aussi → zéro souci, fluide, efficace.

À chaque fois, j’avais l’estomac vide, une glycémie basse, mais un mental alerte et un corps très réactif.

Seul bémol : peut-être un léger déficit d’explosivité.
Pas de fringale, pas de contre-performance, mais pas non plus le punch maximal sur les sleds ou les lunges.


La stratégie que j’envisage de tester

C’est là que mon intuition m’oriente.
Je vais probablement tester une stratégie en trois temps :

  1. 48h avant la course : surdose de lipides de qualité
    → Objectif : un excès calorique disponible, très stable, pour un fond d’énergie solide.
    → Exemples : avocat, œufs, noix, huiles vierges, saumon, et…. BEURE DE CACAHUÈTES.
  2. Jusqu’à 24h avant : glucides très lents + un peu de protéines
    → Exemples : flocons d’avoine, épeautre, patates douces,
    → L’idée, c’est de charger les réserves sans relancer l’insuline trop proche de la course.
  3. 24h avant la course : jeûne digestif + hyperhydratation
    → Je coupe tout solide. Je bois énormément.
    → Electrolytes ++ pour éviter crampes, flou cognitif ou baisse d’attention.

Mon objectif : arriver sur la ligne de départ avec :

  • un estomac vide,
  • un cerveau réactif,
  • des réserves pleines,
  • un métabolisme propre,
  • et 0 conflit digestif ou nerveux.

C’est cette formule que je vais tenter de raffiner par l’expérience.
Et si ça fonctionne, je vous la livrerai, chiffres à l’appui, dans les prochaines newsletters.


CONCLUSION – Et maintenant ?

La suite, c’est simple : continuer ce bloc plaisir.

Pas d’objectif de perf, pas de pression, juste du mouvement, du feeling, de l’observation.
Je m’entraîne, je me regarde m’entraîner, j’écoute ce que mon corps me dit — à travers le prisme des 4 piliers : mindset, économie, moteur, nutrition.

L’objectif ?
Préparer, dans l’ombre, le plan de bataille de septembre.

Et à très court terme…
🔥 Hybrid Games du Breakfast Club le 28 juin, en double mixte.
On est chauds. Ça va partir très très vite. Et on vise la gagne.

En attendant, je continue à documenter l’aventure, chercher les pépites, et vous les partager ici, chaque semaine.

Améliore ton temps sur ton prochain hyrox